Ce matin je suis excité, je sens que j’ai la diarrhée et j’ai envie de faire dans ma culotte. Au lieu d’aller aux wc comme un tel besoin pourrait le suggérer, je décide d’aller acheter des cigarettes au bureau de tabac situé à quelques centaines de mètres de chez moi. En chemin je commence à éprouver quelques petites douleurs abdominales liées à l’envie de faire caca, je les calme en évacuant des gaz, retenant juste assez pour ne pas faire dans ma culotte, pas en-core, pas avant d’être sorti du tabac. J’achète mes cigarettes et en ressortant je me relâche doucement en marchant, je ressens le lent cheminement d’une envie qui descend dans mes intestins et arrive enfin à mon derrière. Là un vieux réflexe me fait serrer les fesses au mo-ment où je vais me salir ! Retenant in extremis un besoin qui ne demandait qu’à s’exprimer … je recommence à me relâcher doucement et cette fois un peu de diarrhée se faufile doucement entre mes fesses : ça y est j’ai le derrière sale, je me suis retenu au dernier moment pour profiter pleinement du moment béni où je salirais mon slip. Je m’arrête et pour me donner une contenance je sors mon paquet de cigarettes et en allume une en prenant mon temps, je me relâche lentement jusqu’à sentir la chaleur d’une colique douce et épaisse qui trouve son chemin entre mes fesses légèrement serrées pour renforcer la sensation. Je suis tellement excité que je m’y reprends à plusieurs fois pour allumer ma cigarette. Je me retiens et fais quelques pas. Je constate rapidement que cette fois la fuite a dépassée la frontière des fesses et que le fond de mon slip porte la trace irrémédiable d’un laissé aller coupable… une sensation mouillée au derrière à chaque pas qui fait se coller et se décoller mon fond de culotte. Je décide alors de faire comme si je ne savais pas que j’avais la diarrhée et je pousse comme pour faire des gaz : la sanction est immédiate, une coulée douce et chaude fuse, me caresse les fesses et s’étale doucement dans mon slip, cette fois ça y est j’ai vraiment fait dans ma culotte, je marche lentement le slip collé en permanence par cette couche encore fine de colique. J’ai l’impression d’avoir les fesses huilées et à plusieurs reprises je laisse filer une nouvelle coulée, attendant pour me retenir de sentir son arrivée au fond de la culotte. A force de me laisser aller comme cela je sens que j’ai vraiment « fait dans ma culotte », au-delà de ce que je voulais faire, en fait je voulais seulement salir mon slip et marcher ainsi au milieu des gens qui ne se doutent pas de ce que je suis en train de faire… Là je commence à être un peu inquiet, le plaisir de sentir cette chaleur me glisser entre les fesses a été tel qu’à la der-nière coulée j’en ai tellement profité que j’ai senti ma culotte se gonfler sous l’afflux de cette diarrhée qui m’échappe de plus en plus vite à chaque fois que j’ai la faiblesse de me laisser aller. Je m’arrête et me palpe discrètement les fesses, j’ai peur d’avoir le fond du pantalon qui fait une bosse ! il n’en est rien mais le relief marquant la raie des fesses a disparu, comblé par mes « oublis » successifs. Découvrir cela m’excite encore davantage, je suis en pleine rue avec le fond de mon slip rempli de diarrhée crémeuse, des gens passent à quelques dizaines de mètres voire plus près sans se douter de l’état dans lequel je me trouve, je suis dans un état second, à force de tirer nerveusement sur ma cigarette celle-ci c’est consumée plus rapide-ment que d’habitude, mes « relâchements » successifs ont rendus mon besoin d’aller à la selle un peu pressant. Certes je peux me retenir mais en ai-je vraiment le désir ? Je ne veux pas me faire vraiment aux culottes en pleine rue mais cette envie bien présente qui m’obsède, cette sensation d’avoir fait caca dans ma culotte m’ôte tout jugement rationnel, la peur d’être sur-pris que quelqu’un s’aperçoive que je me suis sali, rien n’y fait je sais que je ne vais pas pou-voir résister. Je m’arrête et les doigts tremblants j’allume une nouvelle cigarette… j’ai envie, tellement envie… il faudrait que je file rapidement à la maison, j’ai déjà le slip plein et … trop tard… sans réfléchir je me suis relâché laissant échapper une longue coulée de diarrhée qui semble m’inonder les fesses et le slip d’une onde chaude, épaisse et douce comme de la soie, je reste là immobile, impossible de me contrôler, je fais dans ma culotte au point que mon slip gonflé par cette marée commence à laisser passer une lente dégoulinade dans mon pantalon… je suis tétanisé, je sens la diarrhée me couler le long de mes cuisses et je continue à faire dans ma culotte sans me retenir le moins du monde, le flot c’est un peu ralenti, d’impétueux il s’est fait voluptueux, dans ma tête seul compte le plaisir de me laisser aller ainsi dans ma culotte, je ne pense pas aux conséquences, ma conscience est nichée entre mes fesses, attentive aux sensations qui s’en dégagent, la chaleur, la douceur, je fais caca dans ma culotte, c’est bon, je suis seul au monde au milieu de mon plaisir, comme le flot se tarit, je pousse pour prolonger ce moment et une nouvelle coulée glisse, glisse, entrecoupée de gaz qui provoquent une succession de petits bruits mouillés et assourdis, typiques d’une diarrhée qui part dans la culotte… ça y est, j’ai finit, je reprends lentement conscience de la réalité, celle-ci est préoccupante. En me touchant les fesses je constate que cette fois j’ai bel et bien une bosse au derrière, plutôt révélatrice, cette palpation discrète a eu un effet négatif, j’ai ac-centué la pression dans ma culotte et la dégoulinade dans mon pantalon me fait prendre cons-cience que je me suis sali le pantalon jusqu’à presque mi-cuisses ! Je n’ose plus bouger, j’ai maintenant vraiment peur de rencontrer quelqu’un de connaissance, il me serait impossible de cacher que j’ai fait aux culottes d’autant que l’odeur qui ne m’avait pas frappée de prime abord se fait maintenant agressive… Il me reste environ une centaine de mètres avant d’arriver chez moi en sécurité. Je reprends ma marche et une autre forme de plaisir prend le relais, mon pantalon sale me caresse les cuisses en les souillants, et mon slip se déverse dans les jambes de mon pantalon à chaque pas, se débarrassant de son trop plein, je presse le pas car la dégoulinade prend de l’importance et je panique un peu, j’ai maintenant les mollets sales ! Mon Dieu ! on va finir par me suivre à la trace !! Je marche à longues enjambées qui vident mon slip, j’ai l’impression que ce dernier « fait dans mon pantalon » ! Ouf un dernier effort et je suis devant ma porte j’entre, je referme et m’appuie contre cette dernière, soulagé dans tous les sens du mot ! je fais quelques pas et ne résiste pas au plaisir de me toucher le derrière, la bosse a presque disparue, ce qui la constituait me dégouline le long des jambes. Machinalement je baisse les yeux et … ce n’est pas vrai ! j’ai sali le carrelage ! je regarde mes pieds, ma chaussure gauche porte une coulée de diarrhée marron très clair, je retrousse la jambe de mon pantalon et constate que ma chaussette porte la même traînée. C’est excitant mais je suis embêté il y a de la moquette après l’entrée et je ne peux pas tout salir. Je rentre mes bas de pantalon dans mes chaussettes et me déchausse. Là je découvre que la diarrhée a aussi coulé dans ma chaussure gauche !! Heureusement il n’y a que le talon de sale j’irais dans la salle de bain en marchant sur les pointes de pieds !
Quand je repense à cette matinée…
Quand je repense à cette matinée…