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un autre accident "leger" mais stressant est l'envie pressante "mal retenue". l'envie est tellement pressante que des "fuites" peuvent arriver.
une fois en allant faire de la marche j'ai été pris d'une soudaine envie, pour une fois je me suis aperçu à temps que j'avais la colique et je ne me suis pas risqué à faire de gaz. il n'y avait pas d'endroit ou je pouvais me soulager en toute discrétion et j'ai du marcher un bon kilomètre avant de trouver une ruine à quelques dizaines de métres du chemin. il était temps, je me retenais de plus en plus difficilement et en marchant dans le prés qui séparait le chemin de cette ruine j'ai commencé à salir mon slip par intermittence : je serrais les fesses désespérement mais pendant de courts instants je sentais une fine "coulée" de diarrhée qui partait entre mes fesses; je commencais à croire que j'allais faire dans ma culotte avant d'arriver à cette maison ruinée, les intervalles entre les fuites étaient de plus en plus courts et je sentais que mon slip était passablement souillé, bref j'ai réussi à atteindre la vieille maison en me salissant par à-coups. A peine entré, je me suis déculotté en catastrophe au moment où j'allais chier dans mon froc! j'ai pratiquement fais debout dans l'embrasure de la porte, on aurait pu me voir mais je ne pouvais me retenir davantage. en baissant la tête j'ai vu que le fond de mon slip était joliment décoré mais pas autant que j'aurait pu le craindre : l'équivalent d'une noix de diarrhée était nichée au creux du fond de culotte. bien sùr je n'avais pas de papier et j'ai juste retourné le fond de culotte et l'ai secoué pour faire tomber ce que j'avais fait dedans. il restait une belle tâche ocre jaune au fond de mon slip blanc, je trouvais cela très excitant, mais je ne pouvais pas rester là à contempler ce spectacle, on pouvait me voir, alors je me suis reculotté, sans m'essuyer, et j'ai repris ma marche. celle-ci a durée bien plus logtemps que d'habitude, le plaisir de marcher en sentant la caresse du fond de ma culotte sale sur mes fesses souillées me troublait énormément...
une fois en allant faire de la marche j'ai été pris d'une soudaine envie, pour une fois je me suis aperçu à temps que j'avais la colique et je ne me suis pas risqué à faire de gaz. il n'y avait pas d'endroit ou je pouvais me soulager en toute discrétion et j'ai du marcher un bon kilomètre avant de trouver une ruine à quelques dizaines de métres du chemin. il était temps, je me retenais de plus en plus difficilement et en marchant dans le prés qui séparait le chemin de cette ruine j'ai commencé à salir mon slip par intermittence : je serrais les fesses désespérement mais pendant de courts instants je sentais une fine "coulée" de diarrhée qui partait entre mes fesses; je commencais à croire que j'allais faire dans ma culotte avant d'arriver à cette maison ruinée, les intervalles entre les fuites étaient de plus en plus courts et je sentais que mon slip était passablement souillé, bref j'ai réussi à atteindre la vieille maison en me salissant par à-coups. A peine entré, je me suis déculotté en catastrophe au moment où j'allais chier dans mon froc! j'ai pratiquement fais debout dans l'embrasure de la porte, on aurait pu me voir mais je ne pouvais me retenir davantage. en baissant la tête j'ai vu que le fond de mon slip était joliment décoré mais pas autant que j'aurait pu le craindre : l'équivalent d'une noix de diarrhée était nichée au creux du fond de culotte. bien sùr je n'avais pas de papier et j'ai juste retourné le fond de culotte et l'ai secoué pour faire tomber ce que j'avais fait dedans. il restait une belle tâche ocre jaune au fond de mon slip blanc, je trouvais cela très excitant, mais je ne pouvais pas rester là à contempler ce spectacle, on pouvait me voir, alors je me suis reculotté, sans m'essuyer, et j'ai repris ma marche. celle-ci a durée bien plus logtemps que d'habitude, le plaisir de marcher en sentant la caresse du fond de ma culotte sale sur mes fesses souillées me troublait énormément...